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Le rêve, l'envie et le désir
13/01/2010 09:50
J'ai besoin de rêve, un peu partout.
J'avais toutes les cartes en mains, tous les joker mieux qu'au poker
La vie n'est pas un jeu, à toi d'inventer tes règles.
_____________________________________Poker Face.
Chez nous les enfants sont 4, deux paires, deux impaires
Un père une mère mais pas de frères
Le 2 et le 20, deux paires, un père
13 et 27, hors paires
4 mains gauches, 2 pieds droits dans l'mouvement
Un père une mère et des enfants.
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Le prélude
19/12/2009 11:46
L’enfant des yeux.
On a pas encore les mots, enfant, pour bien répondre à ce qu’on nous sermonne et répète, ce qu’on apprend à ces moments là on le choisis pas. L’envie de crier pour leurs beautés que la vie est pleine de couleurs comme une chambre d’enfant roi.
On m’a appris à entendre plus qu’à écouter, à comprendre aussi avant d’expliquer, à prendre mon temps, le temps qui s’écoule, pas si cool. Enfant on se voit dans un miroir mais un soir on s’aperçoit de son visage de son image dans le reflet de ce miroir.
On est plus un enfant et il nous faut le prouver. Montrer que les sales gosses en colère n’ont pas tord de crier, de tout faire tourner à l’envers, à l’endroit on ne devra pas refouler. Au fond de ses yeux? La foule, c’est écrit.
Si cette folie t’effrayes, n’essaye pas de cacher ton visages entre tes deux mains. Il sera toujours toi, ce visage, quoi qu’on lui fasse endurer. Mes héros connaissent mon regard triste et te diront, regarde toi, et tu verras, ce que tu vois ça n’est pas toi. C’est une image, un mirage, qui changera vite.
Voilà Comment. Comment derrière le bleu j’ai compris, j’ai découvert le double de mon jeu, le bleu de mon regard et celui de ma vue, de ma vie, en sorte.
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La fuite en avant.
17/12/2009 06:44
Et je redeviendrais un gros poisson.
Ou un putain de crabe cancer.
On m'a parlé crié écrit
Que dans la vie faut prendre le temps
J'l'ai tellement pris que j'ai plus de montre
J'ai de l'avance là dans mes mains
Pas derriere un écran de montre
Montre moi ton écran je te dirai
Qui je suis, toi, nous en somme.
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Playscool - Playmobil - Playstation -Playboy
11/12/2009 07:28
J’arrive sur Terre sous la Chaleur
D’un mois de Juillet ou on fêtais
Les premiers pas sur la Lune
20 ans plus tôt il avait la fortune
De découvrir un Terre inconnue
J’ai pour la première fois sentis et vu.
S’en suivent des années paisibles
En Normandie pas sur les îles
Les premiers pas sans la thunes
20 ans plus tard pas fais fortune
Découvert la peur d’un homme inconnu
J’ai pour la première fois pleuré et cru.
Puis vint le temps de l’adolescence
Des premières boites et de l’essence
Les premiers pas sur la Lune
20 ans bientôt j’aurais des thunes
Pour découvrir la peur des Hommes
J’ai pour la première fois croisé la Mort.
Et puis ce matin au réveil
Des premiers sourires et de l’espoir
Les premiers pas de ma tête
20 ans de sommeil paisible
Pour découvrir un peu plus tard
Je ne serais plus jamais en retard.
Make sure the fortune that you see is the fortune that you need.
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Digital Love
09/12/2009 17:28
Je suis à l'age ou l'on ne dort nul part,
Ou devant un écran.
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Mes quatre saisons.
05/12/2009 14:13
L’hiver porte de grands manteaux
Pour cacher ses fraicheurs et ses doutes
L’hiver s’emporte peu
Son calme et ses glaces sont bout-à-bout
Ce qui est le mieux
Le plus drôle et le plus grand des bleu
Celui de l’eau et de notre ciel
Du plus foncé ca reste clair
Translucide, de grandes nageoires,
Comme un dauphin dans un ciel étoilé,
Comme un turquoise bien caché
L’hiver sera toujours parmi nous,
Pour nous montrer comme elle est belle.
Avec le temps.
Les quatres saisons sont dans ma tête
Et vivent toutes sur ma planète
Elles sont mes sœurs et des ames que
Personne n’a dans mon cœur, quiconque
Qui se complètent sans tout comprendre
Que le soleil n’a pas sur prendre.
Le printemps fleurit bien vite
Et esquive le bonheur des cuites
Les amitiés fausses et les vrais cons,
Des alcools qui endorment et des blessures ouvertes
Pensées par la pensée de cette fleur bien verte
Ou celle qui a su avant les autres
Que l’avenir a des mots d’enfants
Et que le passé nous rattrape en courant
Le présent passe outre et entre
Avec le sourire d’un bambin
Qui a vu que sa vie ne sera pas une partie
Mais l’entité de la mort et de celle qui est partie
De nous des siens et de notre espace temps
Elle nous rattrapera,
Avec le temps.
Les quatre saisons vivent dans mon être
Et existeront toujours dans mon cœur
Elles sont mes sœurs et des ames qui
Personne ne l’sais pas elle survivent
Que rien n’arrete que tous rejette
Que ne soleil a bien comprises.
L’été est celui de la fête
Et de l’amour comme de la mort
Des calmants travaillent au soleil
Et du froid caché au fond de ce port
De ses racines l’arbre s’éloigne
Et pousse vers le soleil qui l’attirent
Sans trop se bruler, il connait la chanson,
L’été s’évade dans les fêtes
Et reviens toujours au temps des vacances
Pour ne pas se battre,
Ni pour le travail ni pour l’avenir
Il est l’avenir et vis le présent
Au jour le jour en restant droit,
Les tournures du passé,
Il les encaisse, et les redresse ,
avec le temps.
L’automne est la saison du rap’n’roll
De la musique et des passions,
De l’art, du graff et de la chanson,
Des bétises du passés il a su démêler
Le bon du vrai le con du gelé.
L’automne commence en scorpion,
Et se transforme lentement
En jolie fleur d’un ton orange
Tombée à Terre puis ramasée
Cultivée dans un beau jardin
Fais de mangas et d’amour vrai.
Avec ses doutes et ses déroutes
Sans mensonges et carte de route
L’automne nous fera voyager,
Laissons nous faire et ca ira, on ira
Avec le temps.
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