L’hiver porte de grands manteaux

Pour cacher ses fraicheurs et ses doutes

L’hiver s’emporte peu

Son calme et ses glaces sont bout-à-bout

Ce qui est le mieux

Le plus drôle et le plus grand des bleu

Celui de l’eau et de notre ciel

Du plus foncé ca reste clair

Translucide, de grandes nageoires,

Comme un dauphin dans un ciel étoilé,

Comme un turquoise bien caché

L’hiver sera toujours parmi nous,

Pour nous montrer comme elle est belle.

Avec le temps.

Les quatres saisons sont dans ma tête

Et vivent toutes sur ma planète

Elles sont mes sœurs et des ames que

Personne n’a dans mon cœur, quiconque

 Qui se complètent sans tout comprendre

Que le soleil n’a pas sur prendre.

Le printemps fleurit bien vite

Et esquive le bonheur des cuites

Les amitiés fausses et les vrais cons,

Des alcools qui endorment et des blessures ouvertes

Pensées par la pensée de cette fleur bien verte

Ou celle qui a su avant  les autres

Que l’avenir a des mots d’enfants

Et que le passé nous rattrape en courant

Le présent passe outre et entre

Avec le sourire d’un bambin

Qui a vu que sa vie ne sera pas une partie

Mais l’entité de la mort et de celle qui est partie

De nous des siens et de notre espace temps

Elle nous rattrapera,

Avec le temps.

Les quatre saisons vivent dans mon être

Et existeront toujours dans mon cœur

Elles sont mes sœurs et des ames qui

Personne ne l’sais pas elle survivent

Que rien n’arrete que tous rejette

Que ne soleil a bien comprises.

L’été est celui de la fête

Et de l’amour comme de la mort

Des calmants travaillent au soleil

Et du froid caché au fond de ce port

De ses racines l’arbre s’éloigne

Et pousse vers le soleil qui l’attirent

Sans trop se bruler, il connait la chanson,

L’été s’évade dans les fêtes

Et reviens toujours au temps  des vacances

Pour ne pas se battre,

Ni pour le travail ni pour l’avenir

Il est l’avenir et vis le présent

Au jour le jour en restant droit,

Les tournures du passé,

Il les encaisse, et les redresse ,

avec le temps.

L’automne est la saison du rap’n’roll

De la musique et des passions,

De l’art, du graff et de la chanson,

Des bétises du passés il a su démêler

Le bon du vrai le con du gelé.

L’automne commence en scorpion,

Et se transforme lentement

En jolie fleur d’un ton orange

Tombée à Terre puis ramasée

Cultivée dans un beau jardin

Fais de mangas et d’amour vrai.

Avec ses doutes et ses déroutes

Sans mensonges et carte de route

L’automne nous fera voyager,

Laissons nous faire et ca ira, on ira

Avec le temps.